
Un léger passage à vide de Nicolas Rey
Editions Au diable Vauvert, 182p., 2010, 17€
Après Un Roman français de F. Beigbeder (prix Renaudot 2009), Nicolas Rey se livre à une humble introspection. Au-delà de leur ressemblance capillaire, les deux écrivains médiatiques partagent une dépendance alcolo-chimique. Et, dans une même verve stylistique, Nicolas Rey nous livre sa propre version de la descente aux enfers. Suggérée par un puissant euphémisme: « Un léger passage à vide« .