Tome 1
Joddy Houser & Robin Hobb (scénario), Ryan Kelly (dessins)
Urban Comics, 136 pages, 15€
La saga culte L’Assassin Royal (1995), imaginée par Robin Hobb, est adaptée pour la première fois en BD. Ce monde mêlant magie, fantasy, aventures, chevalerie s’incarne à travers des personnages au caractère bien trempé !
Au royaume des Six-Duchés, les descendants royaux portent un prénom lié à une vertu, comme pour forcer leur nature et imposer l’idée aux sujets que leurs souverains en sont dotés.
Le roi Subtil a trois fils : Chevalerie, Vérité et Royal. L’aîné, Chevalerie, doit prendre la succession de son père. Mais il doit prendre la fuite lorsqu’un fermier ramène au château son fils illégitime, dont il ne veut plus s’occuper.
Le jeune garçon, surnommé Fitz, est pris en charge par Burrich, qui s’occupe des chevaux du roi. Il a pour seuls compagnons les chiens du palefrenier, avec lesquels il communique mentalement. Le roi découvre son talent et considère qu’il vaut mieux en faire un allié qu’un futur ennemi.
Le roi lui concède une éducation royale, académique, et martiale. Mais Fitz doit aussi apprendre auprès d’Umbre l’art de l’assassinat. En échange, le garçon doit lui jurer allégeance.
Ce nouveau statut déplaît à Royal et à la femme du Roi qui ne voient en lui qu’un bâtard et craignent que Fitz développe des velléités de pouvoir. Le voilà plongé au coeur des intrigues et complots de la cour du château de Castelcerf, où sa vie ne tient plus qu’à un fil.
Gageons que cette BD sera autant acclamée que sa version romanesque !