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Astérix

Le voyage immersif

Jusqu’au 05 janvier 2025

Atelier des Lumières, 38 rue Saint-Maur, Paris 11e

Les passionnés d’Astérix et Obélix sont invités à vivre un voyage immersif à l’Atelier des Lumières à partir des vacances de la Toussaint. Des séquences des quarante albums imaginés par René Goscinny et Albert Uderzo depuis 1961 sont reproduites en son et lumière, selon un scénario cristalliseur d’émotions.


Vue de l’exposition © Culturespaces _C. de la Motte Rouge – ASTERIX ® OBELIX ® IDEFIX ® _ © 2024 Les Éditions Albert René _ GOSCINNY-UDERZO

Suite à l’enlèvement du druide Panoramix par Jules César, Astérix, Obélix et Idéfix vont parcourir le monde. De l’Europe à l’Inde en passant par l’Égypte et la Mésopotamie, ils vont dégommer beaucoup de Romains pour retrouver leur gourou !


Vue de l’exposition © Culturespaces _C. de la Motte Rouge – ASTERIX ® OBELIX ® IDEFIX ® _ © 2024 Les Éditions Albert René _ GOSCINNY-UDERZO

La fluidité des dessins d’Uderzo rencontre le piquant du verbe de Goscinny, avec des pépites à dérider n’importe quel adulte trop sérieux ! Ma séquence préférée survient quand Obélix casse le nez du Sphinx, propose de le recoller, et finit par s’emporter en disant que ça ne serait jamais arrivé avec un menhir ! Ou lorsqu’il dit qu’il passe inaperçu en tunique arabe et que les rayures l’amincissent 😉


Vue de l’exposition © Culturespaces _C. de la Motte Rouge – ASTERIX ® OBELIX ® IDEFIX ® _ © 2024 Les Éditions Albert René _ GOSCINNY-UDERZO

Les personnages bougent au rythme de leurs paroles, avec en toile de fond une bande-son éclectique qui mêle musique classique, rock, et pop. Les chansons sont adaptées en fonction des pays traversés, du brouillard de Londres à la magie des pyramides égyptiennes, de l’envoûtante forêt gauloise aux imposantes arènes de Rome.


Vue de l’exposition © Culturespaces _C. de la Motte Rouge – ASTERIX ® OBELIX ® IDEFIX ® _ © 2024 Les Éditions Albert René _ GOSCINNY-UDERZO

Pour une meilleure visualisation de l’espace, les murs de l’Atelier des Lumières reproduisent exceptionnellement le même enchaînement à gauche et à droite. Il suffit de se poser quelque part – pas de besoin de bouger pour tout voir – et de se laisser happer par la magie du film.

La fin est particulièrement émouvante avec la projection d’images d’archives des deux créateurs sur une musique mélancolique de John Williams et en finale Les Copains d’abord (version instrumentale) de Georges Brassens.

Réservations fortement conseillées !

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