Jusqu’au 12 septembre 2010
Musée Zadkine, 100bis, rue d’Assas 75006, 4€
Véritable analogie du bois et du corps humain. Pour Wang Keping, sculpteur autodidacte chinois, le bois mis à nu se mue en des figures hybrides, mi-humaines mi-animalières. Matière vivante par excellence, le bois, sans son écorce, reflète les lignes de vie et « la chair des forêts ». Invité au musée Zadkine, W. Keping fait correspondre ses oeuvres créées entre 1989 et 2008 avec celles du maître des lieux, Ossip Zadkine (1890-1967).