La Fondation groupe EDF poursuit son investissement dans l’art green en présentant une sélection d’artistes internationaux engagés dans la cause écologique.
Le Musée d’Art Moderne de Paris dévoile les oeuvres de la photographe française Sarah Moon et celles du peintre d’origine roumaine Victor Brauner. Deux artistes atypiques à découvrir.
La Bibliothèque nationale de France présente une centaine de tirages panoramiques du photographe tchèque Josef Koudelka, dans une magnifique mise en scène autour du thème universel de la ruine.
À l’occasion des Journées Européennes du Patrimoine, je vous propose de redécouvrir le musée de l’Orangerie qui propose un nouvel accrochage de sa collection permanente dans des salles rénovées et une exposition temporaire sur « La peinture métaphysique » de Giorgio de Chirico. L’ensemble est fascinant.
Le Muséum national d’histoire naturelle présente une collaboration exceptionnelle avec la maison de haute joaillerie Van Cleef & Arpels pour présenter une exposition qui a failli ne pas voir le jour en raison du confinement : « Pierres Précieuses ». Une invitation à une promenade esthétique entre les sciences (la raison) et les arts (l’esthétique).
Drôle de sensation que de rencontrer l’auteur d’une des BD favorites de mes enfants ! Surtout que cette fois-ci Emmanuel Guibert (auteur de la série Ariol, 2000) présente à l’Académie des Beaux-Arts une exposition quelque peu plus sérieuse : Biographies dessinées. Autre visage de son oeuvre.
Fermée depuis l’incendie de Notre-Dame de Paris (15/04/2019), la crypte archéologique de l’île de la Cité rouvre ses portes avec une exposition hommage à l’édifice religieux, devenu icône nationale depuis la parution du roman de Victor Hugo (1831).
Le musée Guimet sort de ses réserves quelque 70 estampes japonaises illustrant le majestueux Mont Fuji, qui culmine à 3776 mètres à Honshu, île principale de l’archipel japonais.
Le Musée des Arts de la Ville de Paris, musée fondé dans l’ancien hôtel particulier du collectionneur Henri Cernuschi (1821-1896), rouvre ses portes avec une nouvelle présentation de ses chefs-d’oeuvre axés sur la Chine, la Corée, le Vietnam et le Japon.
Le musée Bourdelle présente pour la première fois en France les oeuvres du sculpteur et céramiste danois Niels Hansen Jacobsen (1861-1941), qui a vécu à Paris au temps d’Antoine Bourdelle (1861-1929). Son univers symboliste est fascinant.
Grand Palais, Salon d’Honneur, entrée square Jean Perrin, Paris 8e
Grâce à l’exposition immersive numérique organisée au Grand Palais, nous voilà transportés en l’an 79 de notre ère, déambulant dans la strada di balconi, à Pompéi. On croyait tout savoir de cette riche ville romaine, subitement réduite à néant, mais les récentes fouilles et l’immense chantier de restauration entrepris pour sauvegarder ce site inscrit au patrimoine de l’UNESCO n’a pas fini de révéler ses trésors…
Musée d’Orsay, place de la Légion-d’Honneur, Paris 7e
Pour sa réouverture, le musée d’Orsay peut enfin présenter son exposition sur James Tissot – la première à Paris depuis 1985 (Petit Palais) – qui devait ouvrir juste avant le confinement et a failli ne pas voir le jour. Ouf !
Musée d’Orsay, 1 rue de la Légion d’Honneur, Paris 7e
Le musée d’Orsay présente l’oeuvre de Léopold Chauveau (1870-1940), médecin et artiste autodidacte (sculpteur, illustrateur et auteur), à l’univers étrange. Les donations de son petit-fils au musée ont permis cette redécouverte.
Guillaume Mazurage (né en 1984 à Paris) trouve son premier sujet de BD en en interviewant Paul Watson à Los Angeles, capitaine de l’organisation Shea Shepherd – organisation de sauvegarde du milieu marin – qui l’entraîne à bord du John-Paul Déjoria au large du golfe de Californie pour sauver le marsouin vaquita. Aujourd’hui moins de 30 vaquitas sont encore en vie.
Pour sa première exposition temporaire, le musée de la Libération de Paris – musée du général Leclerc – musée Jean Moulin donne à voir l’exode des populations civiles lors du début de l’occupation allemande (1940). L’occasion de découvrir ce musée qui a ouvert ses portes il y a six mois.
La Fondation Cartier pour l’art contemporain expose le travail de Claudia Andujar (né en 1931 à Neuchâtel, vit à Sao Paolo) sur le sort des Yanomami, Indiens d’Amazonie, dont la survie est menacée. Car les richesses de leur terre ancestrale attirent chercheurs d’or clandestins, compagnies minières, éleveurs…
La Maison européenne de la photographie consacre son Studio (premier étage) à la création émergente. Elle expose Gangao Lang, lauréate 2019 du Prix Dior de la Photographie pour Jeunes Talents, dont l’oeuvre lie travail des couleurs et retouches numériques. Une belle découverte.
Première nouvelle exposition depuis le confinement, quel plaisir ! Surtout lorsque l’on découvre la quasi totalité de la collection de dessins de Véronique et Louis-Antoine Prat, ancien chargé de mission et enseignant à l’Ecole du Louvre.
Le musée du quai Branly expose une sélection de l’impressionnante collection d’arts primitifs de la self-made woman Helena Rubinstein, (1870/72 ? – 1965) à la tête d’un empire de cosmétique éponyme (groupe L’Oréal aujourd’hui). Et une des premières collectionneuses des arts africains et océaniens.
Le musée Jacquemart-André bénéficie d’un prêt exceptionnel de la Tate Britain, pour soixante aquarelles de Joseph Mallord William Turner (1775-1851), dont elle détient la plus grande collection au monde. L’occasion de découvrir, en parallèle d’une dizaine de peintures à l’huile, la maîtrise des couleurs d’un des plus grands paysagistes anglais de la fin du XVIIIe – début XIXe siècle.
Le musée Marmottan Monet présente une résonnance entre les peintures de Paul Cézanne (1839-1906) et celles des maîtres italiens des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles. A son tour, le précurseur de la peinture moderne va influencer les artistes italiens du Novecento (XXe siècle). Une démonstration menée d’une main de maître !
Au Centre Pompidou, deux expositions devaient ouvrir avant le confinement. Elles ne seront finalement pas présentées à la réouverture du musée (prévue en juillet). Comme j’avais pu les voir lors du vernissage presse et qu’elles avaient retenu mon attention, j’en publie l’article. La première, « Chine <-> Afrique » questionne les relations sino-africaines à l’ère post-coloniale. La seconde nous fait découvrir l’art du dessinateur et peintre Wols (1913-1951), dont la plupart des oeuvres sont conservées en mains privées, rendant leur exposition d’autant plus précieuse.
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