Le musée de Cluny – musée national du Moyen Âge présente des oeuvres contemporaines inspirées de l’art médiéval dans un dialogue pertinent entre passé et présent.
La 18e édition de Drawing Now Paris expose 71 galeries au Carreau du Temple qui interrogent la contemporanéité du dessin. Du crayon graphite au stylo bille, de l’aquarelle à la tapisserie, ce Salon brouille ou plutôt ouvre les frontières de ce médium universel vers de nouveaux horizons.
Le Collège des Bernardins expose 14 tapisseries tissées à Aubusson issues de quatre séries d’ouvrages du célèbre poète britannique J.R.R. Tolkien (1892-1973). C’est la première fois que les tentures quittent la Cité Internationale de la Tapisserie située dans la Creuse.
À la cour de Rodolphe II (1552-1612), empereur du Saint-Empire romain-germanique (1576-1612), sciences et arts se côtoient, s’observent, s’émulent. Prague devient une capitale culturelle foisonnante qui attire les savants du monde entier. Les objets d’une extrême beauté et grande technicité sont exposés dans la galerie Richelieu du musée du Louvre.
Le musée Jacquemart-André présente les oeuvres d’Artemisia Gentileschi (1593-1656), fille d’Orazio Lomi Gentilschi (1563-1639), qui suit les pas de son père dans l’atelier avant de prendre son indépendance. Si elle n’est pas l’unique femme peintre à Rome à son époque, elle est la seule à s’aventurer dans la peinture d’Histoire, genre traditionnellement réservé aux hommes.
Le musée du Luxembourg confronte les oeuvres de Fernand Léger (1881-1955), pionnier de l’art moderne, avec celles des Nouveaux Réalistes qui revisitent la représentation plastique du réel. L’occasion de découvrir les oeuvres du musée national Fernand Léger, Biot qui ferme pour travaux, et celles du Musée d’Art Moderne et d’Art Contemporain de Nice (MAMAC).
Deux nouveautés occupent les galeries côté Tuileries du musée des Arts décoratifs : l’ouverture d’un petit cabinet extra mignon consacré aux dessins, papiers peints et photographies avec un focus sur le décorateur Jacques-Émile Ruhlmann. Et une exposition sur le style Rococo, caractéristique du début du XVIIIe, qui a été re-interprété de l’Art nouveau à nos jours avec des créations originales de Jean Royère, Mathieu Lehanneur, Vivienne Westwood, Cindy Sherman ou encore Pierre Renart.
Alors que les années 50 se détournent de la représentation du corps, le collectionneur F. Pinault continue de s’y intéresser et rassemble un corpus significatif que nous dévoile la nouvelle exposition de la Bourse de Commerce.
L’Atelier des Lumières nous surprend encore par l’ingéniosité de sa scénographie en sons et lumières, mise au service ici de Picasso et du Douanier Rousseau. Un programme d’une heure d’émerveillement et de battements des pieds !
Le musée du quai Branly présente l’histoire millénaire de l’or, depuis sa projection dans la galaxie à son utilisation par l’homme dans les arts du textile. Les oeuvres sont mises en résonance avec les créations contemporaines de la designer chinoise Guo Pei. Absolument fascinant du début à la fin du parcours.
Pour cette seconde édition du Festival des nouvelles images organisé par le Jeu de Paume, la thématique évoque les enjeux climatiques à travers un récit collectif et pluridisciplinaire.
Si je vous dis wax, vous pensez aussitôt pagne africain ? En réalité, ce morceau de coton coloré aux motifs codés est une adaptation du batik indonésien commercialisé par les Européens. Le musée de l’Homme propose de revenir sur l’histoire et les enjeux contemporains de ce tissu, vieux de plus de 120 ans, à la croisée de l’Asie, de l’Europe, et de l’Afrique.
En avant-première de la saison culturelle France-Brésil (début officiel au mois d’avril), la Maison de l’Amérique latine invite l’artiste Cristina Barroso (née en 1958 à São Paulo) pour sa première exposition personnelle en France.
Cristina Barroso, détail de la série Nativos – Photo : Suzanne Nagy
Grand Palais, entrée avenue du Général Eisenhower, Paris 8e
C’est l’exposition de mode dont tout le monde parle. Et pour cause, l’univers créatif, magique et extravagant de Domenico Dolce et Stefano Gabbano (D&G) ne peut que fasciner les visiteurs de tout âge. Mais, au-delà du foisonnement des décors et du flamboiement des couleurs, l’exposition permet de comprendre les sources d’inspiration des créateurs italiens, dûment imprégnés de leur culture natale.
Le musée du Louvre fait entrer la mode contemporaine (1960-2025) dans ses murs, en contrepoint d’objets d’art historiques, dans un dialogue palpitant qui offre un nouveau regard sur cette partie du musée, peu connue des visiteurs. Une magnifique (re)découverte.
Un siècle traversé par la noirceur, évoqué à travers l’oeuvre d’Otto Mueller, c’est ce que propose cette BD historique à travers une enquête dessinée avec brio par Luz.
La restauration de la Maestà et celle de La Dérision du Christ (oeuvre acquise en 2023) de Cenni di Pepo dit Cimabue (1240-1301/02) sont l’occasion pour le musée du Louvre de revenir sur ce peintre italien à la vie quasi-inconnue mais dont l’oeuvre pose la pierre angulaire de la peinture occidentale.
Peintre byzantin, Madone Kahn, vers 1272-1282. Tempera et or sur bois, peuplier (panneau), sapin (cadre). Courtesy Washington, National Gallery of Art
Première femme à oser peindre des nus masculins en grand format, Marie-Clémentine Valadon (1865-1938), dite Suzanne Valadon, a révolutionné l’histoire de l’art. Comme l’expose avec brio le Centre Pompidou.
Suzanne VALADON, Portrait de Mauricia Coquiot, 1915. Huile sur toile. Crédit Photo : Centre Pompidou, MNAM CCI/Philippe Migeat/ Dist. Grand-Palais-Rmn
Dans l’ancien couvent des Récollets, la Maison de l’architecture Île-de-France accueille les dessins d’une vingtaine d’architectes, paysagistes et artistes, pour exposer la diversité du territoire francilien. Entre précision au couteau, couleurs vives, et imagination, ces oeuvres imposent un autre temps. Pour les créer autant que pour les observer.
1923 marque un terrible tremblement de terre dans la région du Kantō, qui ravage la métropole tokyoïte nippone. La Maison de la Culture du Japon à Paris (MCJP) propose de découvrir à quoi ressemblait Tokyo avant et après cette date, grâce à une sélection d’estampes nouvelles (shinhanga) et créatives (sôsakuhanga).
Kobayashi Kiyochika, Le pont Kaiun et la Première banque nationale sous la neige, 1876. Estampe nishiki-e. Collection du Tokyo Metropolitan Edo-Tokyo Museum.
Grand Palais, entrée Porte H, avenue W. Churchill, Paris 8e
En avant-première de la réouverture de l’ensemble des salles d’exposition du Grand Palais (juin 2025), la partie ouest du bâtiment accueille une rétrospective consacrée à l’artiste japonaise Chiharu Shiota (née en 1972 à Osaka, vit à Berlin). Fils de laine rouge et noire nous entraînent dans un voyage surprenant.
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